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Dès la tombée de la nuit, ses micros sont camouflés dans la forêt. A l'affut, il écoute et capte tout : scènes de nature, scènes de famille et scènes de studio. Portrait du preneur de sons Marc Namblard, dont la passion, héritage paternel, insuffle au creux des oreilles une émotion pure.

Dès la tombée de la nuit, ses micros sont camouflés dans la forêt. A l'affut, il écoute et capte tout : scènes de nature, scènes de famille et scènes de studio. Portrait du preneur de sons Marc Namblard, dont la passion, héritage paternel, insuffle au creux des oreilles une émotion pure.

Que ce soit sur les plans culturels, religieux ou environnementaux, La Réunion semble être une terre d'harmonie et de bien-vivre ensemble. Véritable laboratoire du métissage, sa société est le creuset d'un étonnant brassage. Les communautés et les traditions hindouistes, tamoules, catholiques, chinoises et musulmanes cohabitent sans heurt et vont jusqu'à se mélanger, inventant de nouveaux rites et pratiques. Contrepied de l'image du repli sur soi souvent associée à une île, La Réunion démontre que l'harmonie et la cohabitation entre les cultures sont possibles.

Sans « Pilote », pas d'Astérix, de Tanguy et Laverdure, de Petit Nicolas, de Blueberry, d'Achille Talon, de Valérian, de Rubrique-à-Brac, de Concombre masqué, de Grand Duduche ou de Philémon. Ce journal, né en 1959, a été, sous l'instigation de René Goscinny, Albert Uderzo et Jean-Michel Charlier, le creuset de la BD moderne. Hebdomadaire de référence de la génération des baby-boomers, «Pilote» est aussi le reflet décalé et humoristique de la période des Trente Glorieuses. Au fil des années, le magazine a accompagné ses lecteurs de l'enfance à l'adolescence, puis à l'âge adulte. Achille Talon raconte cinquante ans d'une grandiose épopée.

Sur la presqu'île de Tahiti au Nord de la zone sauvage et peu habitée du Fenua Aihere, il existe un village qui a un rythme de vie bien a lui : Tautira.

Les chemises hawaiiennes sont devenues l'icône des tropiques, emblème de la culture pop. Inspirées des kimonos japonais et des imprimés floraux tahitiens, portées à l'origine par les surfeurs et les plagistes, elles ont conquis le monde et connaissent leur heure de gloire après la guerre puis dans les années 80. Parfois hissées au rang de véritables oeuvres d'art, elles revisitent une histoire de l'art moderne, tantôt impressionniste, abstrait ou fauviste. Reflet de la diversité culturelle du Pacifique, la chemise hawaiienne véhicule un message de paix et de joie lié à l'esprit des îles.