Hugo est un producteur de musique de 20 ans. Il a un caractère haut en couleur et se livre sans détours avec beaucoup d’humour. Il apparaît comme un électron-libre, un peu maladroit, à la fois très actif et nonchalant. Il précise qu’il n’a rien contre Léa et qu’il ne pensait pas l'avoir vexé. Il s’agit donc ici d’un ghosting involontaire...
Mathis a effectivement voulu reprendre contact avec Hugo, sans succès. Il aurait aimé prendre de ses nouvelles et replonger dans ses souvenirs de jeunesse.
Hugo nous parle de Mathis, un vieux pote dont il a perdu le contact au lycée. Régulièrement, Mathis le recontacte mais comme avec Léa il zappe de répondre. Il explique cette attitude par manque de temps et considère garder un lien avec, via leur ami4é digitale.
Léa a vécu une histoire d’amour longue et passionnelle avec Thomas, une histoire qu’elle qualifie de belle, douloureuse et complexe. Le ghosting fut pour elle, la seule manière de se libére. En quittant la ville, elle s’est aussi séparée d’un très bon ami: Hugo.
Il raconte sa relation sentimentale passionnée de 2 ans avec Léa. Après cette longue histoire d’amour, ils décident de se séparer, de manière presque impulsive. Ensuite, tout va très vite. Ils n’ont pas le temps de vraiment discuter que le voilà bloqué de tous les réseaux. Réellement et virtuellement, elle disparaît.
Asma nous confiera son histoire avec Thomas, rencontré à Paris en boîte de nuit, avec qui elle renouera, après une 1ère disparition de celui-ci. Malheureusement pour elle, cette relation se terminera par un nouveau ghosting.
Dans l’intimité de son appartement, le jeune homme nous raconte sa relation avec Asma. « Je me souviens d’Asma comme une fille entreprenante, c’est elle qui m’a dragué. Mais j’ai vite été super jaloux. C’était déplacé puisqu’on sortait ensemble depuis une semaine à peine. Les premiers dates étaient cools, très complices, puis petit à petit je l’ai senti s’éloigner. Je me rends compte aujourd’hui que c’était un ghosting progressif.
L'équipe slash a fait un stage de survie avec Arnaud Doutreligne. Pour apprendre à faire un feu en forêt, à construire un abri, à s'orienter en toutes circonstances... et plus que tout, comprendre la philosophie survivaliste et ses motivations.
L’équipe slash part à la rencontre de personnes ayant des passions considérées comme étant “en marge”. Objectif : casser les clichés, se mettre à l’épreuve et découvrir une autre façon de voir le monde.
Depuis près de 15 ans, la révolution psychotrope est en marche : plus une douleur de l’âme, plus une angoisse qui n’ait trouvé sa pilule. Un virage chimique savamment orchestré par une industrie pharmaceutique aux méthodes rodées : lobbying, marketing et profiting ! De la formation jusqu’aux comptes de la Sécu, la psychiatrie semble avoir tout oublié des pratiques préventives et thérapeutiques au profit d’une chimie schizoïde.
En ces temps de crise environnementale et de surexploitation des ressources, un bien vieil argument revient en force : les humains pèseraient bien trop lourd sur la planète. La surpopulation serait le fléau qui risquerait de nous faire basculer dans le chaos. Vraiment ?
Ils sont attirants, attachants … et rapidement indispensables. Les réseaux sociaux nous appâtent à coup de likes et nous bercent dans leurs "infinite scroll". Et rapidement leurs interfaces nous poussent à la consommation jusqu’à l’overdose. Et ce n’est pas un hasard. Ils ont bâti leurs empires sur notre addiction à la dopamine.
Transition écologique, lutte contre la pauvreté, réforme des retraites : il est une data qui permet de justifier toutes les inactions et les rigueurs... Mais c’est le chiffre de la dette publique, bien sûr ! Et parce que nous vivons soit disant au dessus de nos moyens, il nous faudrait nous soumettre aux créanciers et au chantage à l’austérité. Bien sûr. Pourtant, à bien y regarder c’est moins les dépenses publiques que les cadeaux fiscaux qui creusent notre dû.
Le chemin de nos vies modernes crisse à chaque pas au bruit des grains de sable qui l'ont pavé. Dans nos immeubles, nos routes, nos portables, nos médicaments ou les bouteilles de nos ivresses... Il est devenu le matériau à tout faire d'une société d'abondance. Sans que jamais n'apparaisse les circuits tortueux de cet ingrédient miracle.
Bill Gates, Sergeï Brin ou encore Bernard Arnault. Les nouveaux bienfaiteurs de l’humanité distribuent de manière de plus en plus prodigue leurs milliards au bénéfice collectif. De la santé à l’action sociale en passant par l’aide au développement, les fondations jouent un rôle de plus en plus prépondérant dans le financement de ces activités. Jusqu’à devenir prescriptrices : choix thérapeutique, orientation des politiques publiques, conflits d’intérêt … et tout ça sous la protection d’exemption fiscale.
Nahomy est une rescapée des attentats du Bataclan. Progressivement, elle a vu apparaître les premiers symptômes du stress post-traumatique: cauchemars, sursaut au moindre bruit métallique, paranoïa dans l’espace public... Ce qui l’a aidé : quitter Paris pour se reconstruire.
Benjamin a commencé à avoir des troubles obsessionnels compulsifs (TOC) quand il était enfant, qui se traduisent par des pensées obsédantes et angoissantes. Après un long chemin, il parvient aujourd’hui à vivre avec son trouble. Ce qui l’a aidé : le tennis.