C dans l'airPoliciers en prison : la fronde... et maintenant la crise
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1 h 5 min
Français
IndisponibleTous publicsSous-titré
Pensait-il pouvoir esquiver le sujet ? Lors de son intervention télévisée hier, Emmanuel Macron s’est prêté à un jeu d’équilibriste, interrogé sur le placement en détention d’un des quatre policiers mis en examen pour violences volontaires sur un jeune homme à Marseille. Dans cette intervention, le président de la République affirmera "Nul n’est au-dessus des lois", tout en comprenant l’émotion des policiers suscitée par cette décision de justice. Depuis, la colère gronde dans la cité phocéenne où 600 fonctionnaires se sont mis en arrêt maladie ce lundi, contre 400 vendredi. Une grève du zèle qui pourrait encore s’intensifier, avec partout en France des agents de la paix qui ont décidé de rejoindre le mouvement, comme à Nice ou encore Versailles, soutenus par le directeur général de la police nationale Frédéric Veaux. Ce week-end, sa prise de position dans la presse a fait l’effet d’une bombe. Pour lui, les policiers en attente de procès n’ont rien à faire en prison. Le préfet de Police de Paris, Laurent Nuñez, a adopté dans la foulée exactement la même ligne, suivie par l’ensemble des syndicats de forces de l’ordre, d’Alliance à l’UNSA.
Le syndicat de la magistrature, lui, n’a pas tardé à réagir, regrettant l’absence de prise de position tranchée d’Emmanuel Macron. "En ne dénonçant pas expressément cette attaque inédite contre l'indépendance de la justice, il ne remplit pas son rôle constitutionnel", a déclaré le syndicat sur Twitter. Même le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, traditionnellement enclin à soutenir les forces de l’ordre, fait preuve d’un étonnant mutisme depuis quelques jours. Un mois après les émeutes qui ont embrasé banlieues et centres villes à la suite de la mort de Nahel à Nanterre, une nouvelle crise menace le gouvernement, taxé de ne pas se saisir de la question du mal-être policier tout comme de celle du racisme dans la police, pourtant maintes fois évoqué par le Défenseur des droits ces dernières années.
Si les émeutes n’ont duré que 4 jours, elles ont été d’une extrême violence. A Marseille, un homme de 27 ans a succombé à un tir de LBD dans le cœur dans la nuit du 1er au 2 juillet, tandis que son cousin de 21 ans a été éborgné par un tir de projectile. Deux enquêtes ont été ouvertes par le parquet de Marseille.
Les forces de l’ordre ont également été pris pour cible. D’après le ministère de l’Intérieur, 700 policiers et gendarmes ont été blessés à la suite des émeutes. Un mois plus tard, les forces de l’ordre semblent usées physiquement et psychologiquement, et regrettent le manque de soutien politique. La profession accuse 46 suicides sur l’année 2022, signe d’un profond mal-être, et les 15 milliards d’euros promis par Emmanuel Macron lors de sa campagne électorale de 2022, ne semblent pas suffisants à redresser une institution coupée de la population.
Dans les quartiers populaires comme Vaulx-en-Velin (Rhône), ce problème ne date pourtant pas d’hier. Déjà en octobre 1990, la commune la plus pauvre de l’agglomération lyonnaise s’était embrasée pendant 3 jours après la mort d’un jeune à scooter, percuté par une voiture de police. "Nous n’avons jamais apporté une réponse de fond pour réinstaurer de la confiance entre les jeunes et la police", estime la maire socialiste de la ville, Hélène Geoffroy, qui plaide pour la création d’un parquet spécialisé sur ce type d’affaires. A l’époque, les émeutes de Vaulx-en-Velin avaient été à l’origine de la création du ministère de la ville, puis de plusieurs plans banlieues, jusqu’à ce fameux plan Borloo, écarté en 2018 par… Emmanuel Macron.
Sommes-nous à l’aube d’une nouvelle crise entre l’institution judiciaire et la police ? Comment expliquer le mutisme du gouvernement sur cette question ? Quelles pistes le gouvernement veut-il entreprendre pour renouer le lien entre les Français et leur police ?
Experts :
- Driss Aït Youssef, Docteur en droit public - Spécialiste des questions de sécurité globale
- Audrey Goutard, Cheffe de service enquête et reportage - France Télévisions
- Vincent Brengarth, Avocat pénaliste
- Jeff Wittenberg, Journaliste politique – "France télévisions"En savoir plus
Pensait-il pouvoir esquiver le sujet ? Lors de son intervention télévisée hier, Emmanuel Macron s’est prêté à un jeu d’équilibriste, interrogé sur le placement en détention d’un des quatre policiers mis en examen pour violences volontaires sur un jeune homme à Marseille. Dans cette intervention, le président de la République affirmera "Nul n’est au-dessus des lois", tout en comprenant l’émotion des policiers suscitée par cette décision de justice. Depuis, la colère gronde dans la cité phocéenne où 600 fonctionnaires se sont mis en arrêt maladie ce lundi, contre 400 vendredi. Une grève du zèle qui pourrait encore s’intensifier, avec partout en France des agents de la paix qui ont décidé de rejoindre le mouvement, comme à Nice ou encore Versailles, soutenus par le directeur général de la police nationale Frédéric Veaux. Ce week-end, sa prise de position dans la presse a fait l’effet d’une bombe. Pour lui, les policiers en attente de procès n’ont rien à faire en prison. Le préfet de Police de Paris, Laurent Nuñez, a adopté dans la foulée exactement la même ligne, suivie par l’ensemble des syndicats de forces de l’ordre, d’Alliance à l’UNSA.
Le syndicat de la magistrature, lui, n’a pas tardé à réagir, regrettant l’absence de prise de position tranchée d’Emmanuel Macron. "En ne dénonçant pas expressément cette attaque inédite contre l'indépendance de la justice, il ne remplit pas son rôle constitutionnel", a déclaré le syndicat sur Twitter. Même le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, traditionnellement enclin à soutenir les forces de l’ordre, fait preuve d’un étonnant mutisme depuis quelques jours. Un mois après les émeutes qui ont embrasé banlieues et centres villes à la suite de la mort de Nahel à Nanterre, une nouvelle crise menace le gouvernement, taxé de ne pas se saisir de la question du mal-être policier tout comme de celle du racisme dans la police, pourtant maintes fois évoqué par le Défenseur des droits ces dernières années.
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Les forces de l’ordre ont également été pris pour cible. D’après le ministère de l’Intérieur, 700 policiers et gendarmes ont été blessés à la suite des émeutes. Un mois plus tard, les forces de l’ordre semblent usées physiquement et psychologiquement, et regrettent le manque de soutien politique. La profession accuse 46 suicides sur l’année 2022, signe d’un profond mal-être, et les 15 milliards d’euros promis par Emmanuel Macron lors de sa campagne électorale de 2022, ne semblent pas suffisants à redresser une institution coupée de la population.
Dans les quartiers populaires comme Vaulx-en-Velin (Rhône), ce problème ne date pourtant pas d’hier. Déjà en octobre 1990, la commune la plus pauvre de l’agglomération lyonnaise s’était embrasée pendant 3 jours après la mort d’un jeune à scooter, percuté par une voiture de police. "Nous n’avons jamais apporté une réponse de fond pour réinstaurer de la confiance entre les jeunes et la police", estime la maire socialiste de la ville, Hélène Geoffroy, qui plaide pour la création d’un parquet spécialisé sur ce type d’affaires. A l’époque, les émeutes de Vaulx-en-Velin avaient été à l’origine de la création du ministère de la ville, puis de plusieurs plans banlieues, jusqu’à ce fameux plan Borloo, écarté en 2018 par… Emmanuel Macron.
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Experts :
- Driss Aït Youssef, Docteur en droit public - Spécialiste des questions de sécurité globale
- Audrey Goutard, Cheffe de service enquête et reportage - France Télévisions
- Vincent Brengarth, Avocat pénaliste
- Jeff Wittenberg, Journaliste politique – "France télévisions"
Présenté par :
Axel de Tarlé
Maison de production :
France Télévisions / Maximal Productions
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