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13h15, le dimancheSardou, la France à cœur ouvert

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Décryptage & investigation

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La France des années 70 hérite de la révolte de mai 68, de la libération sexuelle, ou encore, du marxisme. Pourtant, dans les urnes, elle élit deux présidents de droite : Georges Pompidou et Valéry Giscard d'Estaing. Cest comme si une majorité – silencieuse – avait pris le dessus in fine… Un artiste va lui donner une voix : Michel Sardou. En 1970, Sardou fait une entrée fracassante dans les « hit-parades » avec des chansons qui reflètent la France éternelle : « Les bals populaires », « J'habite en France », ou encore « Mourir de plaisir ». Peu à peu, il se mue en chroniqueur de lactualité sociale de son époque. Il raconte lanti-américanisme ambiant, la fin du navire « Le France », la peine de mort, les femmes… jusquà devenir le symbole dun pays profondément divisé. Prenant le parti de lémotion, du « Français moyen », il devient un porte-voix pour certains et un « fasciste » pour dautres. Un statut difficile à porter pour le chanteur. Fans ou non, Sardou fait désormais partie de notre inconscient collectif, telle une pièce du patrimoine de la chanson française. Un film d'Anne-Claire Danel avec Henri Desaunay, Emile Gouveia-Vermelho, Nicolas Ducrot et Marielle KroukEn savoir plus

La France des années 70 hérite de la révolte de mai 68, de la libération sexuelle, ou encore, du marxisme. Pourtant, dans les urnes, elle élit deux présidents de droite : Georges Pompidou et Valéry Giscard d'Estaing. C’est comme si une majorité – silencieuse – avait pris le dessus in fine… Un artiste va lui donner une voix : Michel Sardou.

 

En 1970, Sardou fait une entrée fracassante dans les « hit-parades » avec des chansons qui reflètent la France éternelle : « Les bals populaires », « J'habite en France », ou encore « Mourir de plaisir ».

 

Peu à peu, il se mue en chroniqueur de l’actualité sociale de son époque. Il raconte l’anti-américanisme ambiant, la fin du navire « Le France », la peine de mort, les femmes… jusqu’à devenir le symbole d’un pays profondément divisé. Prenant le parti de l’émotion, du « Français moyen », il devient un porte-voix pour certains et un « fasciste » pour d’autres. Un statut difficile à porter pour le chanteur.

 

Fans ou non, Sardou fait désormais partie de notre inconscient collectif, telle une pièce du patrimoine de la chanson française. 

 

Un film d'Anne-Claire Danel avec Henri Desaunay, Emile Gouveia-Vermelho, Nicolas Ducrot et Marielle Krouk
Présenté par :
Laurent Delahousse