La vidéo n'est pas disponible
On parle de ce qui vous intéresse ?
Juste pour vous proposer des recommandations… qui vous intéressent ;)
Iphigénie
- Arts & spectacles
- 2 h 11 min
- indisponible
- tous publics
Iphigénie, c’est un monde à l’arrêt. Alors que la flotte grecque s’apprêtait à mettre les voiles vers Troie, le vent est tombé brutalement, mettant en panne la machine de conquête. Consulté en secret, le devin Calchas révèle le seul remède à la crise : sacrifier aux dieux la jeune Iphigénie, fille d’Agamemnon. La Grèce doit-elle payer ce prix exorbitant, pour continuer sur sa lancée initiale, et respecter les promesses glorieuses qu’elle s’est faites à elle-même ? C’est ce que prône Ulysse pour qui il n’y a pas d’alternative. Ou faut-il voir dans ce coup d’arrêt, dans cette proposition inacceptable, le signe divin que l’expédition à Troie sera un désastre ? Les chefs de guerre s’interrogent avec inquiétude sur leur avenir et celui de leur civilisation. Heureusement, dans cette drôle de tragédie, tout “finit bien”: c’est une autre victime, l’étrangère de la pièce, qui tombera finalement sous le couteau de Calchas. Les Grecs pourront repartir au combat sans perdre l’une des leurs. Le vent souffle à Aulis, l’épopée reprend souffle, l’Histoire poursuit sa marche conquérante. Pour le meilleur et surtout, sous-entend Racine, pour le pire. Mise en scène et scénographie Stéphane Braunschweig
En savoir plus Iphigénie, c’est un monde à l’arrêt. Alors que la flotte grecque s’apprêtait à mettre les voiles vers Troie, le vent est tombé brutalement, mettant en panne la machine de conquête. Consulté en secret, le devin Calchas révèle le seul remède à la crise : sacrifier aux dieux la jeune Iphigénie, fille d’Agamemnon. La Grèce doit-elle payer ce prix exorbitant, pour continuer sur sa lancée initiale, et respecter les promesses glorieuses qu’elle s’est faites à elle-même ? C’est ce que prône Ulysse pour qui il n’y a pas d’alternative. Ou faut-il voir dans ce coup d’arrêt, dans cette proposition inacceptable, le signe divin que l’expédition à Troie sera un désastre ? Les chefs de guerre s’interrogent avec inquiétude sur leur avenir et celui de leur civilisation. Heureusement, dans cette drôle de tragédie, tout “finit bien”: c’est une autre victime, l’étrangère de la pièce, qui tombera finalement sous le couteau de Calchas. Les Grecs pourront repartir au combat sans perdre l’une des leurs. Le vent souffle à Aulis, l’épopée reprend souffle, l’Histoire poursuit sa marche conquérante. Pour le meilleur et surtout, sous-entend Racine, pour le pire. Mise en scène et scénographie Stéphane Braunschweig