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Disponible jusqu'au 24/04/2027
Dejame volver a la luna… Laissez-moi rejoindre la lune ! Avec Seleynora, l’astre de la nuit brille de mille feux. À la croisée des musiques du monde et de la chanson, ce duo isérois nous fait voyager très loin avec des histoires chantées en français, italien, espagnol ou, plus insolite, en mandarin ancien ! Pour Elodie, la langue est une vraie source d’inspiration. Avec Luc, sa moitié, le couple construit un répertoire onirique dans lequel les cordes vocales et instrumentales vibrent à l’unisson. Basse à cinq cordes pour lui, violoncelle et nyckelharpa, vièle suédoise datant du moyen-âge pour elle.Elodie s’est nourrie de musique baroque et de classique, Luc a grandi avec les Pink Floyd, le rock progressif et la trip hop de Massive Attack et de Portishead. Si chacun œuvre dans différents groupes, le couple a monté le projet Seleynora, il y a trois ans. Leurs chansons célèbrent donc la lune, mais aussi le courage des femmes, leur condition humaine souvent malmenée. Les mélopées envoutantes d’Elodie, les archets et les percussions rappellent parfois les envolées shamaniques du duo néo-zélandais Dead can Dance. Ensemble, ils nous emmènent vers des ailleurs : l’orient, la Scandinavie, l’Inde ou la Chine. Toujours à la recherche de nouvelles musicalités, Elodie envisage de futures chansons en suédois et en hindi. Le duo, qui a déjà joué dans les grottes de la Balme en Isère, rêve de se produire au planétarium de Vaulx-en-Velin. En attendant de décrocher la lune, Seleynora espère surtout séduire les programmateurs de petits festivals et de lieux insolites.En savoir plusDejame volver a la luna… Laissez-moi rejoindre la lune ! Avec Seleynora, l’astre de la nuit brille de mille feux. À la croisée des musiques du monde et de la chanson, ce duo isérois nous fait voyager très loin avec des histoires chantées en français, italien, espagnol ou, plus insolite, en mandarin ancien ! Pour Elodie, la langue est une vraie source d’inspiration. Avec Luc, sa moitié, le couple construit un répertoire onirique dans lequel les cordes vocales et instrumentales vibrent à l’unisson. Basse à cinq cordes pour lui, violoncelle et nyckelharpa, vièle suédoise datant du moyen-âge pour elle.
Elodie s’est nourrie de musique baroque et de classique, Luc a grandi avec les Pink Floyd, le rock progressif et la trip hop de Massive Attack et de Portishead. Si chacun œuvre dans différents groupes, le couple a monté le projet Seleynora, il y a trois ans. Leurs chansons célèbrent donc la lune, mais aussi le courage des femmes, leur condition humaine souvent malmenée. Les mélopées envoutantes d’Elodie, les archets et les percussions rappellent parfois les envolées shamaniques du duo néo-zélandais Dead can Dance. Ensemble, ils nous emmènent vers des ailleurs : l’orient, la Scandinavie, l’Inde ou la Chine. Toujours à la recherche de nouvelles musicalités, Elodie envisage de futures chansons en suédois et en hindi. Le duo, qui a déjà joué dans les grottes de la Balme en Isère, rêve de se produire au planétarium de Vaulx-en-Velin. En attendant de décrocher la lune, Seleynora espère surtout séduire les programmateurs de petits festivals et de lieux insolites.