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Un lac des cygnes

Arte
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Arts & spectacles

2024

1 h 46 min

Allemand

IndisponibleTous publics
Si sa création au Bolchoï, le 4 mars 1877, ne rencontra pas le succès escompté, Le lac des cygnes s’est imposé depuis comme l’un des plus grands ballets du répertoire classique : le chef-d’œuvre de Tchaïkovski a été adapté des centaines de fois, enthousiasmant le public du monde entier. Fort d’une partition puissamment mélodique, il conte les rêveries du prince Siegfried, que sa mère et son précepteur veulent contraindre à se marier. Rares sont, en revanche, les mises en scène qui s’intéressent en profondeur aux destins d’Odette, la jeune princesse changée en cygne blanc, et d’Odile, son "double maléfique" vêtu de noir. Connu pour ses interprétations oniriques empreintes d'ironie, le chorégraphe suédois Johan Inger propose ici une narration centrée sur ces deux personnages féminins. Servi par la virtuosité du Ballet de l’Opéra de Dresde, il aborde avec lucidité le sujet des relations toxiques dans une chorégraphie contemporaine sans tutus ni pointes, mais avec jeux de lumières et de miroirs, et toujours beaucoup de poésie.En savoir plus
Si sa création au Bolchoï, le 4 mars 1877, ne rencontra pas le succès escompté, Le lac des cygnes s’est imposé depuis comme l’un des plus grands ballets du répertoire classique : le chef-d’œuvre de Tchaïkovski a été adapté des centaines de fois, enthousiasmant le public du monde entier. Fort d’une partition puissamment mélodique, il conte les rêveries du prince Siegfried, que sa mère et son précepteur veulent contraindre à se marier. Rares sont, en revanche, les mises en scène qui s’intéressent en profondeur aux destins d’Odette, la jeune princesse changée en cygne blanc, et d’Odile, son "double maléfique" vêtu de noir. Connu pour ses interprétations oniriques empreintes d'ironie, le chorégraphe suédois Johan Inger propose ici une narration centrée sur ces deux personnages féminins. Servi par la virtuosité du Ballet de l’Opéra de Dresde, il aborde avec lucidité le sujet des relations toxiques dans une chorégraphie contemporaine sans tutus ni pointes, mais avec jeux de lumières et de miroirs, et toujours beaucoup de poésie.
Maison de production :
ZDF / ARTE / Armida
Réalisé par :
Tilo Krause