Djamel Cherigui publie son premier roman, "La Sainte touche" (Éditions JC Lattes / Le Masque) : l’histoire d’un duo improbable, un jeune garçon, écrivain en devenir mis à la rue par son père, et un épicier voyou aux méthodes pas toujours légales. L'auteur casse les codes, en écrivant comme on parle. Il mêle le vernaculaire au subjonctif, le tout dans un très joyeux télescopage. "J'ai commencé à lire pour tromper l'ennui, je suis tombé dans une sorte d'addiction de la lecture qui a remplacé celle de l'alcool et du cannabis."