C dans l'airMarine Le Pen, les juges... et la contre-attaque
|
Décryptage & investigation
1 h 5 min
Français
IndisponibleTous publics
Après l’annonce du verdict dans l'affaire des assistants parlementaires européens du Front national (devenu Rassemblement national, RN), le parti d’extrême droite a lancé la contre-attaque politique et médiatique, à commencer par Marine Le Pen. Invitée du journal télévisé de TF1, la patronne des députés RN, qui a décidé de faire appel de sa condamnation pour détournement de fonds publics, a dénoncé hier soir une "décision politique" qui "viole l'État de droit". Puis lors d’une conférence de presse ce mardi, elle a critiqué "l’ingérence des magistrats", qu’elle qualifie de "trouble à l’ordre public". Nous ne laisserons pas les Français se faire voler l’élection présidentielle", a affirmé Marine Le Pen, fustigeant "le système".Jordan Bardella, Louis Aliot, Sébastien Chenu, Marion Maréchal…Les pontes du RN et soutiens de la cheffe de file défilent également en nombre sur les plateaux depuis hier soir et le parti appelle ses militants à se mobiliser ce week-end. Tracts, manifestation, mais aussi accusation de "décision politique" de la part de la justice ou encore l'idée que la démocratie serait en danger, le Rassemblement national martèle ses arguments pour occuper le terrain tout en évitant d'évoquer le fond du dossier des assistants parlementaires européens dans lequel Marine Le Pen et une vingtaine d'accusés ont été condamnés, ce lundi 31 mars. Alors qu’à l’étranger, les dirigeants d’extrême droite du monde entier lui apportent leur soutien : Viktor Orbán a tweeté "Je suis Marine !". Vladimir Poutine a parlé de "violation des normes démocratiques". Donald Trump a dit que cela lui rappelle ses propres affaires judicaires et Elon Musk a dénoncé "un abus du système judiciaire". Pourtant, cette condamnation est l’épilogue d’une enquête ouverte dix ans plus tôt et d’un procès de deux mois. Marine Le Pen et huit eurodéputés ont été reconnus coupables de détournement de 4,6 millions d’euros entre 2004 et 2016. L’argent du Parlement européen destiné aux assistants parlementaires a servi aux dépenses du parti d’extrême droite et des personnes qui y travaillent. "Personne n’est jugé pour avoir fait de la politique […] L’égalité devant la loi est un pilier de la démocratie. Les élus ne disposent pas d’un privilège", a martelé lors de l’énoncé du jugement la présidente du tribunal correctionnel de Paris comme pour anticiper les critiques d’une justice politisée. Dans ce dossier, a-t-elle expliqué, "la question était de savoir si le travail réalisé était bien "en lien avec le mandat" de leur eurodéputé et le tribunal n'a eu "aucun doute" sur le fait qu'il ne l'était pas. Les 12 assistants de neuf eurodéputés (dont Marine Le Pen) étaient bien "rémunérés" par le Parlement européen, alors qu'ils travaillaient "en réalité" pour le parti. La présidente Bénédicte de Perthuis a notamment évoqué le cas d'assistants parlementaires "passant d'un député à l'autre" ou à qui leur employeur ne confiait "aucune tâche". Comme, par exemple, Yann Le Pen, sœur de Marine le Pen, officiellement assistante parlementaire de Bruno Gollnisch alors qu'elle travaillait à l'organisation des grandes manifestations du parti ou encore Thierry Légier, garde du corps de Jean-Marie Le Pen puis de Marine Le Pen, une fonction qui "nécessitait une présence de tous les instants" et ne permettait pas d'être assistant parlementaire de quelqu'un d'autre. Ce mardi, le procureur général près la Cour de cassation Rémy Heitz a insisté sur le fait que la justice n’était "pas politique" : "cette décision n’est pas une décision politique mais judiciaire, rendue par trois juges indépendants, impartiaux". Le délibéré "a été rendu conformément à la loi, en application de textes votés par la représentation nationale".Fait rare, le Conseil supérieur de la magistrature a exprimé dans un communiqué son "inquiétude" face aux attaques : "Ces réactions sont de nature à remettre en cause gravement l’indépendance de l’autorité judiciaire, fondement de l’Etat de droit", a déclaré l’institution lundi, rappelant que "les menaces visant personnellement les magistrats, tout comme les prises de parole de responsables politiques sur le bien-fondé des poursuites ou de la condamnation ne peuvent être acceptées dans une société démocratique". Dans la soirée, c’est le premier président de la cour d’appel de Paris, Jacques Boulard, qui a fait part dans un communiqué de sa "vive préoccupation" face aux "menaces" et "aux attaques personnelles", "en particulier sur les réseaux sociaux", contre les trois magistrats ayant rendu le jugement. "La critique d’une décision de justice ne peut en aucun cas s’exprimer par des menaces formulées à l’égard des magistrats", a-t-il déclaré.Des menaces également condamnées par le ministre de la Justice Gérald Darmanin, les estimant "inacceptables dans une démocratie et préoccupantes pour l’indépendance de l’autorité judiciaire". Le Premier ministre François Bayrou a apporté son "soutien inconditionnel" aux magistrats menacés et ouvert la porte à une "réflexion" pour faire évoluer la loi sur l'exécution provisoire. Le Parti socialiste a de son côté annoncé l’ouverture d’une pétition "pour soutenir l’indépendance de la justice". Les experts :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- NATHALIE SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions- ANNE-CHARLÈNE BEZZINA - Politologue et constitutionnaliste, maître de conférences en droit public- LAURENT VALDIGUIE - Journaliste d’investigation – MarianneEn savoir plus
Après l’annonce du verdict dans l'affaire des assistants parlementaires
européens du Front national (devenu Rassemblement national, RN), le
parti d’extrême droite a lancé la contre-attaque politique et
médiatique, à commencer par Marine
Le Pen. Invitée du journal télévisé de TF1, la patronne des députés RN,
qui a décidé de faire appel de sa condamnation pour détournement de
fonds publics, a dénoncé hier soir une "décision politique" qui "viole
l'État de droit". Puis lors d’une conférence
de presse ce mardi, elle a critiqué "l’ingérence des magistrats",
qu’elle qualifie de "trouble à l’ordre public". Nous ne laisserons pas
les Français se faire voler l’élection présidentielle", a affirmé Marine
Le Pen, fustigeant "le système".Jordan Bardella, Louis Aliot, Sébastien Chenu, Marion Maréchal…Les
pontes du RN et soutiens de la cheffe de file défilent également en
nombre sur les plateaux depuis hier soir et le parti appelle ses
militants à se mobiliser ce week-end. Tracts, manifestation,
mais aussi accusation de "décision politique" de la part de la justice
ou encore l'idée que la démocratie serait en danger, le Rassemblement
national martèle ses arguments pour occuper le terrain tout en évitant
d'évoquer le fond du dossier des assistants
parlementaires européens dans lequel Marine Le Pen et une vingtaine
d'accusés ont été condamnés, ce lundi 31 mars. Alors qu’à l’étranger,
les dirigeants d’extrême droite du monde entier lui apportent leur
soutien : Viktor Orbán a tweeté "Je suis Marine !".
Vladimir Poutine a parlé de "violation des normes démocratiques".
Donald Trump a dit que cela lui rappelle ses propres affaires judicaires
et Elon Musk a dénoncé "un abus du système judiciaire". Pourtant, cette condamnation est l’épilogue d’une enquête ouverte dix
ans plus tôt et d’un procès de deux mois. Marine Le Pen et huit
eurodéputés ont été reconnus coupables de détournement de 4,6 millions
d’euros entre 2004 et 2016. L’argent du Parlement européen
destiné aux assistants parlementaires a servi aux dépenses du parti
d’extrême droite et des personnes qui y travaillent. "Personne n’est
jugé pour avoir fait de la politique […] L’égalité devant la loi est un
pilier de la démocratie. Les élus ne disposent
pas d’un privilège", a martelé lors de l’énoncé du jugement la
présidente du tribunal correctionnel de Paris comme pour anticiper les
critiques d’une justice politisée. Dans ce dossier, a-t-elle expliqué,
"la question était de savoir si le travail réalisé
était bien "en lien avec le mandat" de leur eurodéputé et le tribunal
n'a eu "aucun doute" sur le fait qu'il ne l'était pas. Les 12 assistants
de neuf eurodéputés (dont Marine Le Pen) étaient bien "rémunérés" par
le Parlement européen, alors qu'ils travaillaient
"en réalité" pour le parti. La présidente Bénédicte de Perthuis a
notamment évoqué le cas d'assistants parlementaires "passant d'un député
à l'autre" ou à qui leur employeur ne confiait "aucune tâche". Comme,
par exemple, Yann Le Pen, sœur de Marine le Pen,
officiellement assistante parlementaire de Bruno Gollnisch alors
qu'elle travaillait à l'organisation des grandes manifestations du parti
ou encore Thierry Légier, garde du corps de Jean-Marie Le Pen puis de
Marine Le Pen, une fonction qui "nécessitait une
présence de tous les instants" et ne permettait pas d'être assistant
parlementaire de quelqu'un d'autre. Ce mardi, le procureur général près la Cour de cassation Rémy Heitz a insisté sur le fait que la justice n’était "pas politique" : "cette décision n’est pas une décision politique mais judiciaire, rendue par trois juges indépendants, impartiaux". Le
délibéré "a été rendu conformément à la loi, en application de textes votés par la représentation nationale".Fait rare, le Conseil supérieur de la magistrature a exprimé dans un
communiqué son "inquiétude" face aux attaques : "Ces réactions sont de
nature à remettre en cause gravement l’indépendance de l’autorité
judiciaire, fondement de l’Etat de droit", a déclaré
l’institution lundi, rappelant que "les menaces visant personnellement
les magistrats, tout comme les prises de parole de responsables
politiques sur le bien-fondé des poursuites ou de la condamnation ne
peuvent être acceptées dans une société démocratique".
Dans la soirée, c’est le premier président de la cour d’appel de Paris,
Jacques Boulard, qui a fait part dans un communiqué de sa "vive
préoccupation" face aux "menaces" et "aux attaques personnelles", "en
particulier sur les réseaux sociaux", contre les trois
magistrats ayant rendu le jugement. "La critique d’une décision de
justice ne peut en aucun cas s’exprimer par des menaces formulées à
l’égard des magistrats", a-t-il déclaré.Des menaces également condamnées par le ministre de la Justice Gérald
Darmanin, les estimant "inacceptables dans une démocratie et
préoccupantes pour l’indépendance de l’autorité judiciaire". Le Premier
ministre François Bayrou a apporté son "soutien inconditionnel"
aux magistrats menacés et ouvert la porte à une "réflexion" pour faire
évoluer la loi sur l'exécution provisoire. Le Parti socialiste a de son
côté annoncé l’ouverture d’une pétition "pour soutenir l’indépendance de
la justice". Les experts : - JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- NATHALIE SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions- ANNE-CHARLÈNE BEZZINA - Politologue et constitutionnaliste, maître de conférences en droit public- LAURENT VALDIGUIE - Journaliste d’investigation – Marianne
Présenté par :
Caroline Roux, Axel de Tarlé
Maison de production :
France Télévisions / Maximal Productions
Du même programme
C dans l'air - Le Pape est mort : l'émotion mondialeÀ regarderC dans l'airLe Pape est mort : l'émotion mondiale1 h 5 minPlus que 2jLe Pape est mort : l'émotion mondialeInfoDiffusé le 21/04/2025Il aura marqué l'Église par son humilité et son ouverture aux plus vulnérables. Douze ans après son arrivée au Vatican, le Pape François, de son vrai nom Mario Bergoglio, s'est éteint ce lundi matin, à l'âge de 88 ans. Premier souverain pontife non-européen, ce fils d'immigrés italiens de nationalité argentine a multiplié les déclarations en fav...Regarder
C dans l'air - Taxer les retraités… le retour d’un tabou !À regarderC dans l'airTaxer les retraités… le retour d’un tabou !1 h 4 minPlus que 3jTaxer les retraités… le retour d’un tabou !InfoDiffusé le 22/04/2025Comment renflouer les caisses de l'État de 40 milliards d’euros ? C’est l’équation sur laquelle planche Bercy, avec la préparation du budget 2026, dont l’objectif est une réduction du déficit à 4,6 % l’an prochain. Parmi les pistes envisagées se trouvent les niches fiscales. Elles sont 467 au total et coûtent 85 milliards d’euros à l'État chaque...Regarder
C dans l'air - Reculades en série... mais où va Trump ? À regarderC dans l'airReculades en série... mais où va Trump ? 1 h 5 minPlus que 4jReculades en série... mais où va Trump ? InfoDiffusé le 23/04/2025Face à la panique mondiale sur les marchés financiers, Donald Trump a décidé de calmer le jeu avec le patron de la Réserve fédérale (Fed) qu’il a pourtant traité de "loser" avant-hier. Le président américain affirme désormais qu'il n'a "aucune intention de le renvoyer" avant la fin de son mandat, en 2026, et qu'il souhaite simplement obtenir de ...Regarder
C dans l'air - L'enfer de Bétharram... La fille de Bayrou témoigneÀ regarderC dans l'airL'enfer de Bétharram... La fille de Bayrou témoigne1 h 3 minL'enfer de Bétharram... La fille de Bayrou témoigneInfoDiffusé le 24/04/2025C’est un livre choc qui parait ce jeudi. Dans Le silence de Bétharram, Alain Esquerre dépeint le système de violences mis en place au sein de l'institution catholique privée pendant des décennies. Avec la journaliste Clémence Badault, ils ont rassemblé les témoignages de dizaines de victimes qui décrivent les sévices physiques et sexuelles subis...Regarder
C dans l'air - Trump / Poutine : leur "deal" pour l'UkraineÀ regarderC dans l'airTrump / Poutine : leur "deal" pour l'Ukraine1 h 4 minTrump / Poutine : leur "deal" pour l'UkraineInfoDiffusé le 25/04/2025Donald Trump veut un cessez-le-feu, mais à quel prix ? Alors que la guerre se prolonge en Ukraine, le président américain veut imposer son plan de paix "cette semaine", mais semble perdre patience. “Vladimir, ARRÊTE !” s’est agacé jeudi le locataire de la Maison-Blanche sur sa plateforme Truth Social, après une nouvelle vague de frappes russes m...Regarder
C dans l'air - Pape François : l'hommage mondial, Trump... et ZelenskyÀ regarderC dans l'airPape François : l'hommage mondial, Trump... et Zelensky1 h 3 minPape François : l'hommage mondial, Trump... et ZelenskyInfoDiffusé le 26/04/2025Les experts :- Christine Pedotti, directrice de la rédaction – "Témoignage chrétien"- Anthony Bellanger, éditorialiste - Franceinfo TV Spécialiste des questions internationales- Bernard Lecomte, journaliste spécialiste du Vatican- Isabelle De Gaulmyn, productrice - “France Culture”Regarder
C dans l'air - Trump s'impatiente, Poutine joue la montre...À regarderC dans l'airTrump s'impatiente, Poutine joue la montre...1 h 4 minTrump s'impatiente, Poutine joue la montre...InfoDiffusé le 28/04/2025Vladimir Poutine a annoncé ce lundi un cessez-le-feu sur le front en Ukraine du 8 au 10 mai, à l’occasion des 80 ans de la victoire contre l’Allemagne nazie, tout en prévenant que Moscou répliquera "en cas de violation" par Kiev de cette trêve. "À partir de minuit entre le 7 et le 8 mai, et jusqu’à minuit entre le 10 et le 11 mai, la partie russ...Regarder
C dans l'air - Trump : 100 jours sans limite... et encore des surprises ?À regarderC dans l'airTrump : 100 jours sans limite... et encore des surprises ?1 h 4 minTrump : 100 jours sans limite... et encore des surprises ?InfoDiffusé le 29/04/2025Donald Trump a retrouvé en janvier la Maison-Blanche, porté par une promesse de rupture totale avec l’ère Biden. 100 jours après c’est peu dire que le changement a eu lieu. Les bouleversements se sont enchaînés à mesure que sont tombés les décrets présidentiels et autres annonces fracassantes du président américain. Repoussant les limites du pou...Regarder
C dans l'air - 100 jours de Trump... hold-up sur l'Amérique !À regarderC dans l'air100 jours de Trump... hold-up sur l'Amérique !1 h 5 min100 jours de Trump... hold-up sur l'Amérique !InfoDiffusé le 30/04/2025"Nous ne faisons que commencer, vous n'avez encore rien vu". Pour fêter ses 100 premiers jours à la Maison-Blanche, Donald Trump a tenu hier dans le Michigan devant ses partisans un discours d'autosatisfaction sur son début de mandat, vantant les "100 jours les plus réussis" de l’histoire américaine. "Nous sauvons le rêve américain. Nous rendons...Regarder
C dans l'air - Retraités, taxes... Où trouver l'argent ?À regarderC dans l'airRetraités, taxes... Où trouver l'argent ?1 h 7 minRetraités, taxes... Où trouver l'argent ?InfoDiffusé le 01/05/2025La préparation du budget 2026 s'avère épineuse. Le gouvernement doit trouver quarante milliards d'euros d'économies, sans hausse d'impôt. Il y a quelques jours, le ministre de l'Aménagement de territoires a alors suggéré la création d'une « contribution modeste » pour « renouer le lien » entre les collectivités et les Français qui y résident. Si...Regarder
C dans l'air - Accord sur les minerais : Poutine va-t-il laisser faire Trump ?À regarderC dans l'airAccord sur les minerais : Poutine va-t-il laisser faire Trump ?1 h 6 minAccord sur les minerais : Poutine va-t-il laisser faire Trump ?InfoDiffusé le 02/05/2025L'accord est scellé. Kiev et Washington ont finalement signé le deal économique prévoyant la mise en oeuvre d'un fonds d'investissement commun pour la reconstruction du pays, et donnant aux Américains un accès privilégié aux ressources naturelles ukrainiennes. Celles-ci sont très utiles pour l'industrie américaine, notamment dans le secteur de l...Regarder
C dans l'air - Panne d'électricité géante : qui est responsable ?À regarderC dans l'airPanne d'électricité géante : qui est responsable ?1 h 4 minPanne d'électricité géante : qui est responsable ?SociétéDiffusé le 03/05/2025Deux pays entièrement plongés dans le noir. Une panne massive d’électricité a touché l'Espagne et le Portugal il y a quelques jours, et l'heure est à la recherche de responsables. Si le gouvernement portugais a écarté l’hypothèse d’une cyberattaque, rien ne permet de conclure sur ce qu'il s'est produit à ce stade. La situation électrique particu...Regarder
C dans l'air - Trump : la dérive mégalo ?À regarderC dans l'airTrump : la dérive mégalo ?1 h 5 minTrump : la dérive mégalo ?InfoDiffusé le 05/05/2025Il avait promis les « 100 premiers jours les plus extraordinaires de toute présidence dans l'histoire américaine » et ils n'ont en effet laissé personne indifférent. Jugé imprévisible ou machiavélique, Donald Trump n'a cessé de bousculer l'ordre mondial, entre guerre commerciale, dossier ukrainien et décrets radicaux. Pourtant, à peine 39 % des ...Regarder
C dans l'air - Gaza : les projets fous d'Israël... et de TrumpÀ regarderC dans l'airGaza : les projets fous d'Israël... et de Trump1 h 6 minGaza : les projets fous d'Israël... et de TrumpInfoDiffusé le 06/05/2025Une opération « intensive ». C'est ce que compte mener l'armée israélienne dans la bande de Gaza selon les mots du premier ministre Benjamin Netanyahu. Une nouvelle étape de la guerre qui impliquerait le déplacement de davantage de Palestiniens, « pour leur propre sécurité ». Une extension des opérations militaires visant à la « conquête » du te...Regarder
C dans l'air - Inde / Pakistan : deux puissances nucléaires en guerreÀ regarderC dans l'airInde / Pakistan : deux puissances nucléaires en guerre1 h 6 minInde / Pakistan : deux puissances nucléaires en guerreInfoDiffusé le 07/05/2025La crainte de l'embrasement. Suite aux échanges de tirs entre l'Inde et le Pakistan, la communauté internationale exhorte les deux puissances nucléaires à la « retenue ». Les frappes survenues la nuit dernière ont fait au moins vingt-six morts côté pakistanais, et douze côté indien. L'Inde a justifié ses frappes comme des représailles à l'attent...Regarder
C dans l'air - Poutine / Xi Jinping : un front anti-Trump ?À regarderC dans l'airPoutine / Xi Jinping : un front anti-Trump ?1 h 6 minPoutine / Xi Jinping : un front anti-Trump ?InfoDiffusé le 08/05/2025Moscou se barricade. À la veille de la traditionnelle célébration du 9 mai sur la place rouge, un dispositif de sécurité XXL a été mis en place par le Kremlin, qui craint des attaques de drones ukrainiens. Vingt-neuf dirigeants étrangers, dont le chinois Xi Jinping et le brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, seront en tout cas parmi les invités. ...Regarder
C dans l'air - Léon XIV : Le Vatican contre la Maison Blanche ?À regarderC dans l'airLéon XIV : Le Vatican contre la Maison Blanche ?1 h 7 minLéon XIV : Le Vatican contre la Maison Blanche ?InfoDiffusé le 09/05/2025"Habemus Papam !", il est 19h15 lorsque la célèbre formule a été prononcée sur la place Saint-Pierre. Un nouveau pape, le premier américain de l'Histoire, allait être présenté au monde catholique. Robert Francis Prevost, qui prit le nom de Léon XIV, a alors prononcé un premier discours, placé sous le signe de la paix. "Le mal ne l'emportera pas ...Regarder
C dans l'air - Macron à Kiev : un cessez-le-feu lundi ?À regarderC dans l'airMacron à Kiev : un cessez-le-feu lundi ?1 h 6 minMacron à Kiev : un cessez-le-feu lundi ?InfoDiffusé le 10/05/2025La réponse est symbolique : la visite en Ukraine des dirigeants français, allemand, britannique et polonais au lendemain des commémorations tenues à Moscou. Poutine, en effet, s'est affiché hier aux côtés d’une trentaine de dirigeants étrangers, dont Xi Jinping et Lula, pour une démonstration de force militaire. « La Russie restera le barrage in...Regarder
C dans l'air - Zelensky / Poutine : Trump veut une rencontre "maintenant" !À regarderC dans l'airZelensky / Poutine : Trump veut une rencontre "maintenant" !1 h 4 minZelensky / Poutine : Trump veut une rencontre "maintenant" !SociétéDiffusé le 12/05/2025"J’attendrai Poutine jeudi en Turquie, personnellement". Volodymyr Zelensky a confirmé qu'il se déplacera pour des négociations directes entre Kiev et Moscou, donnant rendez-vous à son ennemi ce 15 mai à Istanbul, alors que le président russe s’était dit prêt samedi à des "discussions directes". Que va répondre le maître du Kremlin ? Pour l’heur...Regarder
C dans l'air - Pompiers, tribunaux... violences sans limiteÀ regarderC dans l'airPompiers, tribunaux... violences sans limite1 h 5 minPompiers, tribunaux... violences sans limiteInfoDiffusé le 13/05/2025Depuis plusieurs années, la société française est secouée par une série de faits de violence, qui se traduit par des agressions envers les représentants de l'État (enseignants et personnels scolaires, policiers…) des harcèlements avec menaces de mort, des rixes entre bandes rivales ou des lynchages. Et les exemples s'accumulent. Rien que sur ces...Regarder