C dans l'airAprès le Canada, le Groenland... Trump veut Gaza !
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Décryptage & investigation
1 h 4 min
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À l’occasion de la visite du Premier ministre israélien Benyamin
Nétanyahu à Washington, Donald Trump a déclaré mardi soir que les
États-Unis allaient "prendre le contrôle à long terme" de l’enclave
palestinienne et la vider de ses habitants.
"Tous", a réaffirmé Donald Trump. "Je veux dire, nous parlons
probablement d’un million sept cent mille personnes, un million sept,
peut-être un million huit. Mais je pense qu’ils devraient tous partir.
Je pense qu’ils seront réinstallés dans des endroits
où ils pourront mener une vie meilleure et ne plus avoir à craindre de
mourir chaque jour". Le président américain qui s’est dit prêt à
envoyer des soldats américains a assuré que la Jordanie et l'Egypte
finiront par accepter d'accueillir des réfugiés palestiniens,
malgré l'opposition de ces pays ainsi que des Palestiniens eux-mêmes.
Reprenant ses habits de magnat de l’immobilier, Donald Trump s’est aussi
engagé à faire de ce territoire la "Côte d’Azur du Moyen-Orient".Mais ce n’est pas tout. Questionné par la journaliste de NBC News Kelly
O’Donnell, le président américain a déclaré qu’il envisageait également
d’expulser les Palestiniens de la Cisjordanie et d’attribuer ce
territoire à Israël. "Nous en discutons", a-t-il
affirmé, au sujet de la volonté de Benyamin Nétanyahu et de ses alliés
d’extrême droite de prendre le contrôle de la "Judée et Samarie"
bibliques, qui incluent la Cisjordanie contrôlée par l’Autorité
Palestinienne. "Les gens aiment cette idée", a-t-il ajouté,
promettant une annonce "sur ce sujet très spécifique dans les quatre
prochaines semaines". À ses côtés, le Premier ministre israélien a salué
une proposition du président américain qui pourrait "changer
l'Histoire".Des propos du nouveau locataire de la Maison-Blanche fustigés en masse à
travers le monde ce mercredi. Le Hamas a dénoncé la "position raciste
américaine" alignée sur "l'extrême droite israélienne" visant à
"éradiquer la cause palestinienne". "Nous ne permettrons
pas que soient bafoués les droits de notre peuple", a-t-il déclaré de
son côté le président palestinien Mahmoud Abbas.Les déclarations de Donald Trump sont "probablement dangereuses pour la
stabilité et pour le processus de paix" a affirmé la porte-parole du
gouvernement Sophie Primas. "La France est opposée pleinement aux
déplacements des populations", a-t-elle ajouté. L’avenir
de Gaza passe par "un futur État palestinien" et non par le contrôle
"d’un pays tiers", avait commenté plus tôt la diplomatie française,
soulignant que le déplacement forcé de la population palestinienne de la
bande de Gaza constituerait une "violation grave
du droit international". Gaza "appartient aux Palestiniens", a appuyé
pour sa part Berlin. Ils doivent pouvoir "vivre et prospérer" dans la
bande de Gaza et en Cisjordanie, a estimé le chef de la diplomatie
britannique, David Lammy.L'Arabie saoudite a redit, de son côté, qu'elle ne ferait pas la paix
avec Israël sans la création d'un État palestinien et s'est opposée au
déplacement de la population. Le sénateur américain Chris Van Hollen,
démocrate membre de la commission des relations
étrangères, s'est montré plus direct, qualifiant la proposition de
Trump de "nettoyage ethnique sous un autre nom".Alors Donald Trump est-il sérieux ? Quel est son plan pour Gaza ? De
l’enclave palestinienne à l’Iran, quels sont ses desseins au
Moyen-Orient ? Enfin quels sont les contours du "deal" au parfum de
terres rares en discussion entre Donald Trump et Volodymir
Zelensky ? Et quelle est la situation sur le front ukrainien ?
Les experts :- Frédéric ENCEL - Docteur en géopolitique, maître de conférences - Sciences Po Paris, auteur de
Les voies de la puissance - James ANDRÉ - Grand reporter - France 24- Daphné BENOIT - Cheffe du pôle international - AFP- Régis GENTÉ - Journaliste – auteur de "Notre homme à Washington. Trump dans la main des Russes"En savoir plus
À l’occasion de la visite du Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahu à Washington, Donald Trump a déclaré mardi soir que les États-Unis allaient "prendre le contrôle à long terme" de l’enclave palestinienne et la vider de ses habitants. "Tous", a réaffirmé Donald Trump. "Je veux dire, nous parlons probablement d’un million sept cent mille personnes, un million sept, peut-être un million huit. Mais je pense qu’ils devraient tous partir. Je pense qu’ils seront réinstallés dans des endroits où ils pourront mener une vie meilleure et ne plus avoir à craindre de mourir chaque jour". Le président américain qui s’est dit prêt à envoyer des soldats américains a assuré que la Jordanie et l'Egypte finiront par accepter d'accueillir des réfugiés palestiniens, malgré l'opposition de ces pays ainsi que des Palestiniens eux-mêmes. Reprenant ses habits de magnat de l’immobilier, Donald Trump s’est aussi engagé à faire de ce territoire la "Côte d’Azur du Moyen-Orient".Mais ce n’est pas tout. Questionné par la journaliste de NBC News Kelly O’Donnell, le président américain a déclaré qu’il envisageait également d’expulser les Palestiniens de la Cisjordanie et d’attribuer ce territoire à Israël. "Nous en discutons", a-t-il affirmé, au sujet de la volonté de Benyamin Nétanyahu et de ses alliés d’extrême droite de prendre le contrôle de la "Judée et Samarie" bibliques, qui incluent la Cisjordanie contrôlée par l’Autorité Palestinienne. "Les gens aiment cette idée", a-t-il ajouté, promettant une annonce "sur ce sujet très spécifique dans les quatre prochaines semaines". À ses côtés, le Premier ministre israélien a salué une proposition du président américain qui pourrait "changer l'Histoire".Des propos du nouveau locataire de la Maison-Blanche fustigés en masse à travers le monde ce mercredi. Le Hamas a dénoncé la "position raciste américaine" alignée sur "l'extrême droite israélienne" visant à "éradiquer la cause palestinienne". "Nous ne permettrons pas que soient bafoués les droits de notre peuple", a-t-il déclaré de son côté le président palestinien Mahmoud Abbas.Les déclarations de Donald Trump sont "probablement dangereuses pour la stabilité et pour le processus de paix" a affirmé la porte-parole du gouvernement Sophie Primas. "La France est opposée pleinement aux déplacements des populations", a-t-elle ajouté. L’avenir de Gaza passe par "un futur État palestinien" et non par le contrôle "d’un pays tiers", avait commenté plus tôt la diplomatie française, soulignant que le déplacement forcé de la population palestinienne de la bande de Gaza constituerait une "violation grave du droit international". Gaza "appartient aux Palestiniens", a appuyé pour sa part Berlin. Ils doivent pouvoir "vivre et prospérer" dans la bande de Gaza et en Cisjordanie, a estimé le chef de la diplomatie britannique, David Lammy.L'Arabie saoudite a redit, de son côté, qu'elle ne ferait pas la paix avec Israël sans la création d'un État palestinien et s'est opposée au déplacement de la population. Le sénateur américain Chris Van Hollen, démocrate membre de la commission des relations étrangères, s'est montré plus direct, qualifiant la proposition de Trump de "nettoyage ethnique sous un autre nom".Alors Donald Trump est-il sérieux ? Quel est son plan pour Gaza ? De l’enclave palestinienne à l’Iran, quels sont ses desseins au Moyen-Orient ? Enfin quels sont les contours du "deal" au parfum de terres rares en discussion entre Donald Trump et Volodymir Zelensky ? Et quelle est la situation sur le front ukrainien ? Les experts :- Frédéric ENCEL - Docteur en géopolitique, maître de conférences - Sciences Po Paris, auteur deLes voies de la puissance- James ANDRÉ - Grand reporter - France 24- Daphné BENOIT - Cheffe du pôle international - AFP- Régis GENTÉ - Journaliste – auteur de "Notre homme à Washington. Trump dans la main des Russes"
Présenté par :
Caroline Roux, Axel de Tarlé
Maison de production :
France Télévisions / Maximal Productions
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