C dans l'airKamala Harris, le cauchemar de Trump ?
|
Décryptage & investigation
1 h 6 min
Français
IndisponibleTous publicsSous-titré
Joe Biden hors course. Le président des États-Unis a annoncé hier le retrait de sa candidature au scrutin national de novembre. C'est sous la forme d'un communiqué, publié notamment sur X, que le démocrate a fait cette annonce. "Servir en tant que président a été le grand honneur de mon existence. Et, bien que mon intention était de briguer ma réélection, je pense qu'il est dans l'intérêt de mon parti et de mon pays que je renonce et me focalise seulement sur l'accomplissement de mes devoirs pour le reste de mon mandat", a-t-il écrit. Le locataire de la Maison blanche a finalement été vaincu par les doutes sur son acuité mentale et l'accumulation des voix d'élus lui demandant de passer le flambeau.Dans son camp, les réactions se sont multipliées pour saluer sa décision. L'ancien président américain Barack Obama, dont Joe Biden a été le vice-président, a salué dans un communiqué "l'un des présidents américains les plus importants, ainsi qu'un ami et un partenaire cher pour moi. Aujourd'hui, on nous a également rappelé – encore une fois – qu'il est un patriote du plus haut niveau". Barack Obama n'a toutefois pas mentionné le nom de la vice-présidente, Kamala Harris. Cette dernière, qui compte bien être investie, est plébiscitée dans son camp. Dans les heures qui ont suivi l'annonce de Biden, la vice-présidente a reçu le soutien appuyé de Bill et Hillary Clinton et d'une multitude d'élus, progressistes comme modérés. Autre bonne nouvelle pour la prétendante, les financement affluent de nouveau en masse pour soutenir une candidature démocrate. "Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour unifier le Parti démocrate et – unir notre nation – pour battre Donald Trump", a écrit Kamala Harris sur X.Donald Trump, le candidat républicain, tenait samedi dernier son premier meeting électoral depuis la tentative d’assassinat contre lui. Et il n'a pas retenu ses coups, qualifiant sa potentielle rivale de "cinglée". Dans l’État clef du Michigan, l’ex-président a cultivé son image de miraculé en affirmant : "J’ai pris une balle pour la démocratie". Il a promis un "raz-de-marée" républicain en novembre prochain.Épaulé par son colistier J.D. Vance, originaire de l'État voisin de l'Ohio, et qui se présente comme un porte-voix de l'Amérique déclassée.S'il se montre confiant, les premières inquiétudes se font jour dans son camp. Les premiers sondages montrent une Kamala Harris qui résiste mieux que Joe Biden. Face à elle, tout le camp républicain se met en ordre de marche. De nombreux clips vidéos ciblant la démocrate ont été publiés hier soir et et inondent internet et les télévisions.Le parti républicain séduit de plus en plus dans la communauté hispanique de Floride. Les motivations du vote sont diverses. Certains reconnaissent en Donald Trump le businessman qui assurera la prospérité économique, d'autres, sont séduits par ses positions anti immigration. Une équipe de C dans l'air s'est rendue sur place.La candidature de Kamala Harris rebat elle les cartes de l'élection ? Le statut de miraculé de Donald Trump sera-t-il décisif dans le scrutin ? Qui sont les électeurs nouvellement séduits par Trump ?La candidature de Kamala Harris peut-elle rebattre les cartes de l'élection présidentielle américaine ?Nos invités
Anthony Bellanger, Éditorialiste - France Info TV et France InterSpécialiste des questions internationales Marie-Cécile Naves, Politologue, directrice de recherche - IRISSpécialiste des États-Unis Laurence Nardon, Chercheure - Responsable du programme États-Unis de l’IFRIInstitut Français des Relations Internationales Loïc de la Mornais, Grand reporter – France Télévisions, Ancien correspondant à Washington Sonia Dridi, Correspondante aux États-Unis, Auteure de "Joe Biden, le pari de l’Amérique anti-Trump"
En savoir plus
Joe Biden hors course. Le président des États-Unis a annoncé hier le retrait de sa candidature au scrutin national de novembre. C'est sous la forme d'un communiqué, publié notamment sur X, que le démocrate a fait cette annonce. "Servir en tant que président a été le grand honneur de mon existence. Et, bien que mon intention était de briguer ma réélection, je pense qu'il est dans l'intérêt de mon parti et de mon pays que je renonce et me focalise seulement sur l'accomplissement de mes devoirs pour le reste de mon mandat", a-t-il écrit. Le locataire de la Maison blanche a finalement été vaincu par les doutes sur son acuité mentale et l'accumulation des voix d'élus lui demandant de passer le flambeau.
Dans son camp, les réactions se sont multipliées pour saluer sa décision. L'ancien président américain Barack Obama, dont Joe Biden a été le vice-président, a salué dans un communiqué "l'un des présidents américains les plus importants, ainsi qu'un ami et un partenaire cher pour moi. Aujourd'hui, on nous a également rappelé – encore une fois – qu'il est un patriote du plus haut niveau". Barack Obama n'a toutefois pas mentionné le nom de la vice-présidente, Kamala Harris. Cette dernière, qui compte bien être investie, est plébiscitée dans son camp. Dans les heures qui ont suivi l'annonce de Biden, la vice-présidente a reçu le soutien appuyé de Bill et Hillary Clinton et d'une multitude d'élus, progressistes comme modérés. Autre bonne nouvelle pour la prétendante, les financement affluent de nouveau en masse pour soutenir une candidature démocrate. "Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour unifier le Parti démocrate et – unir notre nation – pour battre Donald Trump", a écrit Kamala Harris sur X.
Donald Trump, le candidat républicain, tenait samedi dernier son premier meeting électoral depuis la tentative d’assassinat contre lui. Et il n'a pas retenu ses coups, qualifiant sa potentielle rivale de "cinglée". Dans l’État clef du Michigan, l’ex-président a cultivé son image de miraculé en affirmant : "J’ai pris une balle pour la démocratie". Il a promis un "raz-de-marée" républicain en novembre prochain.
Épaulé par son colistier J.D. Vance, originaire de l'État voisin de l'Ohio, et qui se présente comme un porte-voix de l'Amérique déclassée.
S'il se montre confiant, les premières inquiétudes se font jour dans son camp. Les premiers sondages montrent une Kamala Harris qui résiste mieux que Joe Biden. Face à elle, tout le camp républicain se met en ordre de marche. De nombreux clips vidéos ciblant la démocrate ont été publiés hier soir et et inondent internet et les télévisions.
Le parti républicain séduit de plus en plus dans la communauté hispanique de Floride. Les motivations du vote sont diverses. Certains reconnaissent en Donald Trump le businessman qui assurera la prospérité économique, d'autres, sont séduits par ses positions anti immigration. Une équipe de C dans l'air s'est rendue sur place.
La candidature de Kamala Harris rebat elle les cartes de l'élection ? Le statut de miraculé de Donald Trump sera-t-il décisif dans le scrutin ? Qui sont les électeurs nouvellement séduits par Trump ?
La candidature de Kamala Harris peut-elle rebattre les cartes de l'élection présidentielle américaine ?
Nos invités
Anthony Bellanger, Éditorialiste - France Info TV et France Inter
Spécialiste des questions internationales
Marie-Cécile Naves, Politologue, directrice de recherche - IRIS
Spécialiste des États-Unis
Laurence Nardon, Chercheure - Responsable du programme États-Unis de l’IFRI
Institut Français des Relations Internationales
Loïc de la Mornais, Grand reporter – France Télévisions, Ancien correspondant à Washington
Sonia Dridi, Correspondante aux États-Unis, Auteure de "Joe Biden, le pari de l’Amérique anti-Trump"
Présenté par :
Axel de Tarlé
Maison de production :
France Télévisions / Maximal Productions
Du même programme
C dans l'air - Edition spéciale Etats-UnisÀ regarderC dans l'airEdition spéciale Etats-Unis2 h 20 minEdition spéciale Etats-UnisInfoDiffusé le 13/10/2024Une soirée spéciale autour du documentaire "Etats-Unis, Europe, je t'aime moi non plus", réalisé par Romain Besnainou, dont la diffusion est suivie d'un plateau animé par Caroline Roux avec les experts de "C dans l'air". Dans un monde où les tensions entre les grands blocs s'intensifient et où de nouveaux équilibres se dessinent, l'Occident est-...Regarder
C dans l'air - Dépenses publiques "en roue libre" : faut-il tailler à la hache ?À regarderC dans l'airDépenses publiques "en roue libre" : faut-il tailler à la hache ?1 h 4 minPlus que 1hDépenses publiques "en roue libre" : faut-il tailler à la hache ?InfoDiffusé le 15/02/2025
La France est « au pied du mur ». C'est
en ces termes que la Cour des comptes alerte de la situation des
finances publiques, quelques jours seulement après le vote au Parlement
du budget 2025. Dans leur dernier rapport, les sages
de la rue Cambon soulignent une dérive des dépenses, et tirent la
sonnette d'alarme sur l'urgence des efforts à...Regarder
C dans l'air - Axe Trump-Poutine : le cauchemar des EuropéensÀ regarderC dans l'airAxe Trump-Poutine : le cauchemar des Européens1 h 4 minPlus que 3jAxe Trump-Poutine : le cauchemar des EuropéensInfoDiffusé le 17/02/2025Branle-bas de combat à Paris. L'annonce d'une
réunion entre les États-Unis et la Russie, mardi en Arabie Saoudite,
pour discuter des négociations de paix en Ukraine, mais sans l'Union
européenne, a provoqué un vent de panique en Europe.
Lundi, le chef de la diplomatie russe, Sergeï Lavrov a rappelé que l'UE
n'était pas conviée aux pourparle...Regarder
C dans l'air - Trump/Poutine : les nouveaux alliés ?À regarderC dans l'airTrump/Poutine : les nouveaux alliés ?1 h 4 minPlus que 4jTrump/Poutine : les nouveaux alliés ?InfoDiffusé le 18/02/2025À chaque jour son lot de surprises sur l'Ukraine. Le porte-parole du
Kremlin Dmitri Peskov a déclaré ce matin que Vladimir Poutine était prêt
à négocier avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky "si
nécessaire". Une déclaration encore
impensable il y a quelques semaines. Pendant ce temps, les chefs de la
diplomatie russe et américain,...Regarder
C dans l'air - Bayrou s'embourbe... Retailleau s'envoleÀ regarderC dans l'airBayrou s'embourbe... Retailleau s'envole1 h 4 minBayrou s'embourbe... Retailleau s'envoleInfoDiffusé le 19/02/2025L’affaire Bétharram ne quitte plus l’Assemblée nationale. Pour la
troisième fois, ce mardi, François Bayrou a été questionné par la gauche
pendant les questions au gouvernement, sur l’affaire des violences au
sein cette école catholique
des Pyrénées-Atlantiques, situé à proximité de son fief de Pau. Le chef
du gouvernement, maire de Pau et ...Regarder
C dans l'air - Trump attaque le "dictateur" ZelenskyÀ regarderC dans l'airTrump attaque le "dictateur" Zelensky1 h 4 minTrump attaque le "dictateur" ZelenskyInfoDiffusé le 20/02/2025L’escalade continue. Hier, Donald Trump franchit une nouvelle limite et
traite Volodymyr Zelensky de "dictateur". Pour lui, le président
ukrainien est "un dictateur sans élection", faisant référence à la fin
de son mandat expiré en mai
2024 puis prolongé par la loi martiale. Sur sa plateforme Truth Social,
le président américain poursuit : ...Regarder
C dans l'air - Allemagne : un nouveau chancelier... face à TrumpÀ regarderC dans l'airAllemagne : un nouveau chancelier... face à Trump1 h 4 minAllemagne : un nouveau chancelier... face à TrumpInfoDiffusé le 21/02/2025
J-2 avant les élections. Les Allemands sont appelés aux urnes ce
dimanche pour élire leurs 630 représentants au Bundestag lors des
élections législatives anticipées. Le Parti social-démocrate (SPD) du
chancelier sortant Olaf Scholz s’achemine
vers une débâcle, crédité de seulement 15 % des intentions de vote.
Face à lui, les conservateurs ...Regarder
C dans l'air - Salon de l'agriculture : la colère couve encoreÀ regarderC dans l'airSalon de l'agriculture : la colère couve encore1 h 4 minSalon de l'agriculture : la colère couve encoreInfoDiffusé le 22/02/2025Lorrain Sénéchal décrypte en direct l'actualité en compagnie de quatre experts. En fin d'émission, ils répondent aux questions des téléspectateurs.Regarder
C dans l'air - Macron/Trump : un face à face qui change quoi ?À regarderC dans l'airMacron/Trump : un face à face qui change quoi ?1 h 3 minMacron/Trump : un face à face qui change quoi ?InfoDiffusé le 24/02/2025Emmanuel Macron est en visite officielle à Washington, ce lundi 24
février, où il va rencontrer Donald Trump pour aborder la guerre en
Ukraine qui a débuté il y a tout juste trois ans. L'objectif du
président de la République est clair
: peser dans le jeu diplomatique et défendre les intérêts des
Européens, sur fond de rapprochement accélér...Regarder
C dans l'air - Macron/Trump : des accolades... et une rupture ?À regarderC dans l'airMacron/Trump : des accolades... et une rupture ?1 h 4 minMacron/Trump : des accolades... et une rupture ?InfoDiffusé le 25/02/2025Alors que les rapprochements entre les États-Unis de Donald Trump et la
Russie de Vladimir Poutine s’accentuent, Emmanuel Macron a été reçu par
son homologue américain à la Maison-Blanche, ce lundi. Cet échange,
trois ans jour pour jour après le début de l’invasion
à grande échelle de l’Ukraine par la Russie, a principalement porté sur
le d...Regarder
C dans l'air - Ukraine, Groenland... Trump veut les terres rares !À regarderC dans l'airUkraine, Groenland... Trump veut les terres rares !1 h 3 minUkraine, Groenland... Trump veut les terres rares !InfoDiffusé le 26/02/2025
Un marché en passe d'être conclu ? L'Ukraine a accepté les termes d'un
accord sur ses terres rares avec les États-Unis. Le président ukrainien
Volodymyr Zelensky devrait ainsi rencontrer son homologue américain
Donald Trump ce vendredi à Washington pour entériner
le deal. Si Kiev avait précédemment mis le holà à une précédente
proposition,...Regarder
C dans l'air - Et maintenant... Trump insulte l'EuropeÀ regarderC dans l'airEt maintenant... Trump insulte l'Europe1 h 4 minEt maintenant... Trump insulte l'EuropeInfoDiffusé le 27/02/2025Donald Trump poursuit ses menaces contre l’Europe.
Après le Canada et le Mexique, le président américain a annoncé que les
produits européens feront également l’objet "prochainement" de 25 % de
droits de douane. Selon l’ancien animateur
de téléréalité, volontiers provocateur, l’Union Européenne a "été
conçue pour entuber les États-Unis". Br...Regarder
C dans l'air - Trump / Zelensky : le face-à-faceÀ regarderC dans l'airTrump / Zelensky : le face-à-face1 h 4 minTrump / Zelensky : le face-à-faceInfoDiffusé le 28/02/2025Trois ans après le début de l’invasion russe en Ukraine, Volodymyr
Zelensky est convié ce vendredi en fin d’après-midi à la Maison-Blanche
par Donald Trump, en plein rapprochement entre les États-Unis et la
Russie. Un président américain
qui, ces dernières heures, a adouci considérablement son discours à
l’égard de son homologue ukrainien, ...Regarder
C dans l'air - Trump-Zelensky : le clash qui change tout ?À regarderC dans l'airTrump-Zelensky : le clash qui change tout ?1 h 5 minTrump-Zelensky : le clash qui change tout ?InfoDiffusé le 01/03/2025La sidération est mondiale. L'altercation, hier dans le bureau ovale,
entre Volodymyr Zelensky, Donald Trump et son vice-président J.D. Vance
restera historique. La tension est montée quand le président ukrainien a
prédit que les États-Unis
finiront par "sentir les effets de la guerre". "Ne nous dites pas ce
que nous allons sentir" a ripost...Regarder
C dans l'air - Et maintenant Trump veut punir ZelenskyÀ regarderC dans l'airEt maintenant Trump veut punir Zelensky1 h 4 minEt maintenant Trump veut punir ZelenskyInfoDiffusé le 03/03/2025Le président ukrainien est plus que jamais dans le viseur de Washington,
et le soutien européen réaffirmé ces dernières heures à Londres n’y a
rien changé. Qualifié de dictateur, puis quasiment expulsé de la
Maison-Blanche après la scène
brutale dans le bureau ovale devant les caméras du monde entier, entre
Volodymyr Zelensky, Donald Trump ...Regarder
C dans l'air - Trump lâche l'Ukraine, Poutine jubileÀ regarderC dans l'airTrump lâche l'Ukraine, Poutine jubile1 h 3 minTrump lâche l'Ukraine, Poutine jubileInfoDiffusé le 04/03/2025Forcer la paix en Ukraine et accentuer la guerre commerciale. Après la
rencontre de vendredi à la Maison-Blanche, qui a tourné en affrontement
verbal, devant les caméras du monde entier, entre Volodymyr Zelensky,
Donald Trump et JD Vance,
les États-Unis ont décidé de resserrer encore l’étau sur le dirigeant
ukrainien, en décidant cette nuit...Regarder
C dans l'air - Trump : "ce n'est qu'un début"À regarderC dans l'airTrump : "ce n'est qu'un début"1 h 3 minTrump : "ce n'est qu'un début"InfoDiffusé le 05/03/2025Mardi soir, sous les ovations des parlementaires
républicains euphoriques et les protestations des démocrates en bleu et
jaune, couleurs de l’Ukraine, ou en rose pour défendre la cause des
femmes, Donald Trump a prononcé un discours d’une
heure et 40 minutes, le plus long d’un président américain devant le
Congrès. Une première grande prise...Regarder
C dans l'air - Macron : "La menace russe est là"À regarderC dans l'airMacron : "La menace russe est là"1 h 4 minMacron : "La menace russe est là"InfoDiffusé le 06/03/2025"La patrie a besoin de vous, de votre engagement". Mercredi soir, à la
veille d'un Conseil européen décisif sur la sécurité, le chef de l'Etat
s'est adressé aux Français lors d’une allocution télévision solennelle
pour les alerter sur l’avènement
d’une "nouvelle ère" et d’"un monde de dangers". "Il va falloir
investir dans la défense » a di...Regarder
C dans l'air - Poutine-Macron : le ton monteÀ regarderC dans l'airPoutine-Macron : le ton monte1 h 4 minPoutine-Macron : le ton monteInfoDiffusé le 07/03/2025Face au désengagement des Américains, les
Vingt-Sept se sont mis d’accord hier à Bruxelles sur un plan de 800
milliards d’euros pour se réarmer rapidement. "Des financements communs
massifs seront décidés pour acheter et produire sur le
sol européen des munitions, des chars, des armes, des équipements parmi
les plus innovants", avait expliq...Regarder
C dans l'air - Défense : les Européens vont-ils acheter français ?À regarderC dans l'airDéfense : les Européens vont-ils acheter français ?1 h 4 minDéfense : les Européens vont-ils acheter français ?InfoDiffusé le 08/03/2025
"Il est plus facile de traiter avec la
Russie". Voilà ce qu'à finalement déclaré Donald Trump hier, quelques
heures seulement après avoir menacé la Russie de nouvelles sanctions si
elle ne cessait pas de "pilonner" l'Ukraine.
Le président américain souffle le chaud et le froid en déclarant faire
confiance à Poutine alors même qu'une nouvel...Regarder