Depuis la rentrée de septembre, les associations de solidarité sont unanimes : elles n'ont jamais été confrontées à une situation sociale aussi dramatique. Les demandes d'aides explosent, au point que le Secours Populaire a décidé, pour la première fois de son histoire, de refuser de nouvelles adhésions de bénéficiaires à Nantes. Aux Restos du cœur en Pays de la Loire, le nombre de nouvelles familles et de repas servis a augmenté de 20% en 4 mois. Qui sont celles et ceux que l'on peut qualifier de "nouveaux pauvres" ? Comment les associations font-elles face ?
