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Complément d'enquêteSandrine Rousseau, Députée de Paris EELV et Christian Gerondeau, Membre de l'association des climato-réalistes
Décryptage & investigation
23 min 35 s
Disponible jusqu'au 03/05/2025
Sandrine Rousseau, Députée de Paris EELV et Christian Gerondeau, Membre de l'association des climato-réalistes débattent sur les questions relatives à l'écologie et le réchauffement climatique. La députée affirme que les positions de Christian Gerondeau sont dignes de celles des "platistes" de l'époque. Pour ce dernier, le GIEC est une sorte de "nations unies" avec 200 pays qui votent des résolutions mais ne comporte pas d'experts. Sandrine Rousseau accuse les climatosceptiques de ne pas regarder le problème en face alors que nous sommes confrontés "physiquement au réchauffement climatique". Les climatosceptiques sont d'après elle, "les idiots utiles d'un système économique qui permet de continuer à faire de l'argent en nous mettant nous même en danger". Christian Gerondeau affirme écrire par conviction et ne percevoir aucun revenu de la part des lobbys. Il défend sa thèse parce qu'il y "croit" à "partir des faits et des chiffres".En savoir plusSandrine Rousseau, Députée de Paris EELV et Christian Gerondeau, Membre de l'association des climato-réalistes débattent sur les questions relatives à l'écologie et le réchauffement climatique.
La députée affirme que les positions de Christian Gerondeau sont dignes de celles des "platistes" de l'époque. Pour ce dernier, le GIEC est une sorte de "nations unies" avec 200 pays qui votent des résolutions mais ne comporte pas d'experts.
Sandrine Rousseau accuse les climatosceptiques de ne pas regarder le problème en face alors que nous sommes confrontés "physiquement au réchauffement climatique". Les climatosceptiques sont d'après elle, "les idiots utiles d'un système économique qui permet de continuer à faire de l'argent en nous mettant nous même en danger".
Christian Gerondeau affirme écrire par conviction et ne percevoir aucun revenu de la part des lobbys. Il défend sa thèse parce qu'il y "croit" à "partir des faits et des chiffres".