Elie Buzyn témoigne dans un bouleversant récit, « J’avais 15 ans. Vivre, survivre, revivre » (éd. Alisio, parution le 10 avril).
Il décrit son enfance heureuse en Pologne, et puis l’horreur. La déportation à Auschwitz en août 1944 avec ses parents et sa sœur. La liquidation du camp en janvier 1945 et cette « marche de la mort » dans le froid jusqu’à Wroclaw puis Buchenwald. A sa libération, il se reconstruit, entre la Palestine, l’Algérie et la France où il devient médecin et s'oriente vers la chirurgie orthopédique.