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La vie est belle

Arte
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Cinéma

1946

2 h 5 min

IndisponibleTous publicsAudio-décrit
La paisible bourgade de Bedford Falls s’apprête à célébrer Noël. Mais George Bailey, l’un des habitants, n’a pas le cœur à la fête. Directeur, depuis la mort de son père, d’une société de prêt immobilier permettant aux plus modestes d’accéder à la propriété, George vient d’apprendre que son oncle a égaré les 8 000 dollars qu’il devait déposer à la banque. Une aubaine pour Mr. Potter, le potentat qui règne sans partage sur la ville et essaie depuis longtemps de faire couler son entreprise. Alors que, pour échapper à l’opprobre de la faillite, George s’apprête à mettre fin à ses jours, le Ciel s’en émeut. Pour enfin gagner ses ailes, l’ange de deuxième classe Clarence doit le convaincre de renoncer à ses funestes projets… Droiture Il n’aura rien accompli de ses rêves les plus chers, George : visiter l’Europe, achever ses études supérieures, demeurer célibataire, donner les clés de la société paternelle à son jeune frère, devenir un grand architecte. Mais s’il n’a jamais quitté Bedford Falls, sa vie n’a-t-elle pas été pour autant comblée par une femme aimante (Donna Reed), quatre charmants bambins et une droiture exemplaire qui lui vaut la considération unanime de sa petite communauté ? Interprété par James Stewart, que Capra dirige ici pour la troisième fois après Vous ne l’emporterez pas avec vous (1938) et Mr. Smith au Sénat (1939), La vie est belle joue avec virtuosité sur la palette des émotions, combinant fantaisie céleste et pragmatisme terrien, humour et mélodrame, suspense et romantisme. À la générosité de son candide héros, balloté par des événements qui lui échappent, le cinéaste oppose aussi la rapacité de l’avide banquier Mr. Potter, campé par le génial Lionel Barrymore, un parti pris qui lui vaudra de s’attirer la suspicion de la Commission des activités anti-américaines. Considéré comme l’un des plus grands films de Capra, une fable intemporelle emplie d’idéalisme et d’humanité.En savoir plus
La paisible bourgade de Bedford Falls s’apprête à célébrer Noël. Mais George Bailey, l’un des habitants, n’a pas le cœur à la fête. Directeur, depuis la mort de son père, d’une société de prêt immobilier permettant aux plus modestes d’accéder à la propriété, George vient d’apprendre que son oncle a égaré les 8 000 dollars qu’il devait déposer à la banque. Une aubaine pour Mr. Potter, le potentat qui règne sans partage sur la ville et essaie depuis longtemps de faire couler son entreprise. Alors que, pour échapper à l’opprobre de la faillite, George s’apprête à mettre fin à ses jours, le Ciel s’en émeut. Pour enfin gagner ses ailes, l’ange de deuxième classe Clarence doit le convaincre de renoncer à ses funestes projets… Droiture  Il n’aura rien accompli de ses rêves les plus chers, George : visiter l’Europe, achever ses études supérieures, demeurer célibataire, donner les clés de la société paternelle à son jeune frère, devenir un grand architecte. Mais s’il n’a jamais quitté Bedford Falls, sa vie n’a-t-elle pas été pour autant comblée par une femme aimante (Donna Reed), quatre charmants bambins et une droiture exemplaire qui lui vaut la considération unanime de sa petite communauté ? Interprété par James Stewart, que Capra dirige ici pour la troisième fois après Vous ne l’emporterez pas avec vous (1938) et Mr. Smith au Sénat (1939), La vie est belle joue avec virtuosité sur la palette des émotions, combinant fantaisie céleste et pragmatisme terrien, humour et mélodrame, suspense et romantisme. À la générosité de son candide héros, balloté par des événements qui lui échappent, le cinéaste oppose aussi la rapacité de l’avide banquier Mr. Potter, campé par le génial Lionel Barrymore, un parti pris qui lui vaudra de s’attirer la suspicion de la Commission des activités anti-américaines. Considéré comme l’un des plus grands films de Capra, une fable intemporelle emplie d’idéalisme et d’humanité.
Réalisé par :
Frank Capra
Avec :
James Stewart, Henry Travers, Donna Reed, Lionel Barrymore, Thomas Mitchell, Beulah Bondi, Ward Bond, Gloria Grahame
Scénaristes :
Frances Goodrich, Albert Hackett, Frank Capra, Jo Swerling