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Les elfes, hobbits et autres personnages peuplant l'univers de l'écrivain britannique John Ronald Reuel Tolkien ont traversé les décennies et font désormais partie de l'imaginaire collectif. Pour mieux redécouvrir les oeuvres cultes de l'auteur, François Busnel propose de raconter son histoire, méconnue, en compagnies de spécialistes. Orphelin, Tolkien a quitté l'Afrique du Sud pour les banlieues ouvrières anglaises à l'âge de quatre ans. Il a été soldat dans les tranchées, professeur à Oxford, et s'est passionné pour les langues. Il en maîtrise une quinzaine et en a inventé presque autant. Curieux, débordant d'imagination, il a su créer un monde fantasmagorique brouillant les frontières entre le Bien et le Mal. Un invité exceptionnel participe aussi à l'émission : George R.R. Martin, auteur d'une autre saga à succès, «Game of Thrones».

Tout au long de ce documentaire, Charles Aznavour, véritable ambassadeur de la chanson française, se raconte avec émotion, et interprète ses plus grands succès, parmi lesquels « Que c'est triste Venise », « La Mamma », « Je n'ai rien oublié », « Les Comédiens », « Paris au mois d'août », « Il faut savoir », « Hier encore », « Sa jeunesse », « Les Emigrants », « Comme ils disent », ou encore « La Bohême » et « Emmenez-moi ». Mais le talent de Charles Aznavour s'étend également au 7e Art. Avec plus de cinquante films à son actif, il a su se hisser parmi les grands acteurs du cinéma français, avec des rôles dans « Un taxi pour Tobrouk », « Tirez sur le pianiste », mais aussi « Le Temps des loups ».

En Afrique Australe, le bassin du Limpopo est ravagé par la sècheresse mais, même à sec, le fleuve est un refuge et le seul espoir de survie pour beaucoup.

Ce documentaire propose une plongée dans la Rome antique, où se déroulaient régulièrement des combats de gladiateurs - littéralement, «combattants à l'épée». Documentées dès le IIIe siècle avant Jésus Christ, ces joutes étaient un temps fort de la vie de la cité. Dans les amphithéâtres, la foule se pressait pour voir s'affronter des combattants professionnels, libres ou esclaves, parfois jusqu'à la mort. Des écoles dédiées à l'apprentissage de l'art du combat étaient présentes partout dans l'Empire, celles d'Aquilée et de Capoue étant parmi les plus réputées.