page 20 / toutes les vidéos science & santé

Le Tyrannosaure Rex a été l'un des plus grands carnivores terrestres. Il reste le super prédateur de la préhistoire et le dinosaure le plus célèbre de la culture populaire, avec ses pattes postérieures puissantes et son énorme mâchoire. Mais à quoi ressemblait-il vraiment ? Sa réputation est-elle justifiée ? Une équipe internationale de paléontologues, de biologistes et de naturalistes entreprend de rétablir la véritable image de ce dinosaure mythique. Les experts dressent un portrait qui va à l'encontre de nombreuses idées reçues. Sa tête et son cou, pour commencer, auraient été couverts d'une crinière, vraisemblablement colorée.

Il y a 65 millions d'années, à la fin du crétacé, une météorite de près de 10 km de diamètre serait entrée en collision avec la Terre. L'impact aurait soufflé des régions entières, projetant dans l'atmosphère suffisamment de poussière pour obscurcir le sol durant des mois. Incapables de vivre sans soleil, de nombreuses plantes auraient fini par mourir, suivies par les herbivores, puis par les carnivores. Près de 80% des espèces végétales et animales - dont les dinosaures - auraient disparu ainsi définitivement. A l'aide d'effets spéciaux, ce film illustre cette catastrophe et décrit l'histoire possible des derniers jours des dinosaures.

L'ostéoporose, la maladie de l'os poreux, serait une épidémie silencieuse responsable chaque année de 377 000 fractures du col du fémur, des vertèbres ou du poignet, en majorité chez les femmes après la ménopause. Aujourd'hui, des spécialistes s'opposent à cette vision alarmiste et affirment que dans la plupart des cas, l'ostéoporose n'est pas une maladie mais un processus naturel lié au vieillissement. Le mode de dépistage de l'ostéoporose conduit des milliers de femmes en bonne santé à prendre des traitements préventifs dont l'efficacité est remise en cause. Des médicaments censés prévenir le risque de fracture qui peuvent avoir de graves effets secondaires. Aux Etats-Unis, ils sont au coeur de retentissants procès.

Il y a 70 millions d'années, l'Arctique était une région à la végétation foisonnante et à la nourriture abondante qui abritait de nombreuses espèces de dinosaures, du moins en été. Lorsque l'hiver approchait, les troupeaux d'edmontosaures se lançaient dans un périple de quelque 1500 kilomètres vers le sud en direction de terres plus fertiles et plus accueillantes. Les quinze heures de marche quotidiennes laissaient pas mal d'animaux sur le bord de la route et seuls les plus endurants arrivaient au bout du voyage. Le jeune Edmon s'apprête à faire sa première migration, protégé par ses aînés, mais les dangers sur la route du soleil sont nombreux.

Accident, attentat, violence ou agression sexuelle : victimes et témoins de ces événements peuvent développer un stress post-traumatique. Les survivants revivent leur calvaire à travers des cauchemars, des angoisses et des paniques, ils développent des évitements et souffrent de manifestations somatiques. Perturbation du sommeil, troubles cardiaques, hypervigilance, dépression, suicide : les symptômes sont invalidants. Aujourd'hui, sa prise en charge est devenue un enjeu de santé publique, et les essais et études se multiplient, suscitant parfois la controverse. Quelles sont les thérapies les plus efficaces pour guérir ces traumatisés psychiques ?

Longtemps considéré comme un simple organe de digestion, l'intestin, qui abrite des millions de neurones et des milliards de bactéries, est en passe de révolutionner la médecine. Durant des siècles, la science a ignoré le rôle essentiel de l'intestin sur la santé. Grâce aux récentes découvertes, il est aujourd'hui avéré que cet organe est doté de pouvoirs extraordinaires. Il est considéré comme un deuxième cerveau, directement connecté aux émotions. Il compte 200 millions de neurones : autant que le cortex d'un chien. Pour aider des patients souffrant du syndrome de l'intestin irritable, on utilise l'hypnose dans certains hôpitaux. Autre découverte, notre intestin pourrait ainsi être la source de maladies neurodégénératives, comme la maladie de Parkinson.

Des scientifiques ont démontré qu'à l'instar de l'origami, il était possible de tout plier pour obtenir n'importe quelle forme, aussi complexe soit-elle.

Indispensables au bon fonctionnement du corps, les graisses alimentaires sont accusées de boucher les artères et de favoriser l'obésité et les accidents cardio-vasculaires. Pourtant, on sait aujourd'hui que les preuves scientifiques incriminant les lipides sont plutôt maigres. Désormais, de nombreux spécialistes militent pour le retour en grâce de ces graisses dans les assiettes. Gros plan sur les stratégies des lobbies du sucre pour faire porter aux matières grasses le chapeau de l'obésité et sur les stratégies des marques pour vendre quantité de produits allégés à l'efficacité parfois douteuse.